Mode d’usage et statut de l’utilisateur

  

Toute personne qui entre sur le site de KerAlarm peut visiter le Jardin Virtuel de la Biodiversité et compléter le questionnaire « Représentations des relations entre la vie et les activités humaines et la biodiversité » (figure 1).

 

Figure 1. Le Jardin Virtuel, espace de découverte de la biodiversité européenne

 

A. Visite par type d’écosystème,…

En cliquant sur la barre de Menu correspondante, on peut entrer dans l’écosystème, pour découvrir la diversité des fonctions environnementales qu’il offre aux sociétés humaines (voir figure 2).

 

Figure 2. La découverte des services environnementaux de la biodiversité

 

B. … par catégories de fonctions environnementales, …

Les fonctions environnementales de la biodiversité sont décrites de manière ni détaillée, ni exhaustive. Pour des composantes représentatives de l’écosystème, choisies comme exemple, le processus écologique qui assure la fonction environnementale est représenté graphiquement (voir figure 2). Pour chacune de ces représentations, une fenêtre de texte peut être ouverte et fermée en cliquant. L’information fournie est accompagnée de références bibliographiques. À l’intérieur des mêmes fenêtres de texte, des liens peuvent être faits vers les espaces du système KerAlarm qui sont pertinents pour la fonction environnementale respective (e.g., Acteurs et Enjeux).

 

Figure 3. La découverte des transformations de la biodiversité associées au changement climatique

 

C. … ou par facteur de changement, de perte ou de dommage de la biodiversité

Au bas de la page, les quatre « boutons d’accès » correspondent aux quatre facteurs de changement de la biodiversité qui font le sujet du projet ALARM. Pour certaines fonctions environnementales choisies comme exemple, une animation illustre le changement/dommage que le facteur respectif détermine dans le type d’écosystème visité (e.g., l’effet du changement climatique pour l’équilibre des relations entre les espèces de tritons et de grenouilles, dans une zone humide) (voir figure 3).